Amour Perdu

Un soir de nuit froide, Murtagh et sa compagne se balladaît dans Trigorn.

Le voleur, charmé par sa belle dulcinée, ne pouvait s'empêcher de la regarder, et de comtempler son doux visage, sa chevelure dorée, et ses yeux, brillants de milles feux.

Arrivée devant le monument aux statuts d'armures de Trigorn centre, le couple observa ces dernières.

Puis, à quelques intervallent, ils se regardèrent, s'échangeaît de doux mots, à tel point que le voleur en n'était plus qu'un ange au paradis.

Il fesait froid dans Trigorn. L'hiver arriva sans doute.

Soudain, des bruîts étranges, vînrent déranger les amoureux, des bruîts d'épées, et de masse; c'était les rôdeurs de la colline nord, le chemin menant aux arenes des ombres, qui étaient fermées.

Ils étaient plus nombreux, une dizaine. Le voleur sortît alors son épée, et se mît devant sa compagne, pour la protégée jusqu'a la mort.

Le combat s'engagea. Murtagh, prît de rage, tua sans exception les voleurs, mais un des leurs, leur chef sans doute, lança un couteau, à la lame empoisonnée, et toucha la jeune femme.
Elle s'écroula au sol, le couteau planté dans l'abdomaine.

Murtagh, voyant cela, fût d'abord frappé par l'esprit, il avait failli.
Puis, de colère pur, attaqua l'assassin de sa tendre aimée, et le tua, sans perdre une minute. Le sang coula à flot en cette nuit froide.

Lorsqu'il était seul, Murtagh lacha son épée, se pencha à genoux sur sa dulcinée, et ils se regardèrent.
Sa fiancée, lui adressa quelques mots :

<< Mon ange, je vais....Mourir. Je sen..je sens, mon souffle diminuer. >>

<< Mais, qu'est ai-je fais !>>

<< Tu nous as sauvés de la dépouille de ces brigands.>>

<< Je.. Ne t'est pas protégée... >> *versant des larmes*

La jeune femme était morte, rongée par le poison de la lame. Murtagh versa des larmes, des larmes de douleur, de désespoire.

Il chantonna alors, envers Aariba, la déesse à qui il s'adressait le plus, en Sindalvin, langage elfe. :

" Anvohtaaaa;

Emgliaca deloa.

Vertia moniosss *versant des larmes*

Esméraldos."

<< Ô Toi Aariba ! Ma déesse toute puissante ! Protège, en ton domaine, les âmes pures, mais protège moi, donne moi la force de lutter contre ce drâme ! >>.

Murtagh, commença alors à écrire ceci, avant d'enmener sa dulcinée.

Ma Dulcinée c'est envolée vers les cieux !
Au pays des Anges, elle se reposera pour l'éternité.
Je l'aimais, avec elle j'étais heureux,
Mais un destin tragique me l'a enlevé.

Comment survivre à cela ? Comment se surpasser...
Pourquoi ce destin tombe sur moi, pour me pourchasser.
Je ne demandais que bonheur avec mon amour;
Et j'y ais trouvé la mort, Je ne connaîtrais plus le même amour.

C'est à ces mots, que je vais de ce pas,
Enmené ma dulcinée loin de la,
Elle ira bien plus loin que l'au-delà;
Je t'aimerais jusqu'a ce que la mort me fasse trépas.

Pour toi, Ô mon amour éternel, je ne t'oublirais jamais : je t'aime.

» Perdu !!!
» Perdu mon mot de passe
» Un amour est né.....depuis belle lurette !