Ode !!!

Oh...ça parle de fleurs!

*Même si cela ne lui est pas destiner, est quand même toucher*

Magnifiques vers comme tout les autres, personnellement je ne me sentirais jamais lasse de lire vos dires dame Krapette !

Encore bravo à vous !

Je suis sur que c'est elle qui compose les chansons de plusieurs chanteurs connu, ca peut -être que elle! :^^:

J'aimes beaucoup le derniers ! Bien que la première phrase prêt à confusion... *Vieux à l'esprit tordu*

Merci à vous tous et à vous toutes, d'avoir prit le temps de me lire !

Celà me remplit de joie^^

Je vous envoie mes plus tendre sentiments !

Dame krapette

En cet instant, je ne saurai trouver les mots pour vous remercier.

Aussi, et bien qu'il ne soit pas de ma plume, je tiens à partager avec vous un texte que je chéris :

"Comment te parler de moi
On s'est connu quand tu es né
Et j'étais déjà bien en toi ce jour là

Je n'ai pas de nom
Mais tant d'années
A me nourrir de toi
Je te servirai, tu en auras besoin

Est-ce que tu sens mes dents serrer ton coeur à l'intérieur ?
Est-ce que tu sens frapper sur les parois ?
Surtout ne t'inquiète pas pour ça

Je ne te dérangerai pas
Je te ferai juste oser les combats

Je suis du vent, du mauvais temps
Des larmes et des embruns
J'ai tant de visages à travers le tien
Je prends la main de qui veut bien assomer les chagrins
Briser les liens ou attaquer les trains

Et c'est moi qui dit non
Tout au fond de ton âme
Je suis ce qui monte en toi quand rien ne va

Et moi je suis venu chez toi
Pour occuper des lieux fermés
En passager qui voudrait te sauver

J'ai marché sur des forteresses
J'ai renversé des rois
Quand tu cris, celui qui parle c'est moi

Derrière la colère et l'espoir, le devoir et l'envie
C'est moi qui suis caché, qui te conduis
Je suis l'esprit qu'on réveille
A trop longtemps se priver
Je suis de tous les conflits

Et quand les révoltes sont là
C'est moi qui parle à chaque fois

Comment te parler de moi
On s'est connu quand tu es né
Je suis comme un alien allié

Moi je suis là pour toi
Moi je suis là pour toi"

...

Funeste

*sourit tendrement*

Messire Funeste, merci d'être là pour moi !

Je suis touchée, je suis charmée, et j'en passe !

*envoie le plus tendre des baisers à Messire Funeste*

Clandestin Nombre de messages : 742 Date d'inscription : 10/02/2007

Chère Dame Krapette

Je viens de prendre le temps, de tout lire, chacune de vos odes, et plus je m'impregne de la beauté de vos mots, plus j'ai la sensation de deviner votre âme si belle et si pure ! Vous êtes bien une fée à n'en pas douter, touchée par la grace des anges !

Amitiés

Clandestin Nombre de messages : 742 Date d'inscription : 10/02/2007

( Hrp: Très joli Dame lomea^^Heureux jess^^)

Je vais vous parler de lui !

Je vais vous parler de lui !
Simplement parce qu’il n’aime pas parler ainsi,
Et que certes j’aime faire parler de moi !
Alors vous me diriez : Es un opposé en bon aloi ?

Et je répondrais juste, avec beaucoup de foi,
Un parfait équilibre entre que l’on ne voit pas et ce que l’on voit !
Un doux mélange d’Alliage dans l’invisiblement infini !
Un fil subtil reliant les l’esprits !

Il n’aime pas parler de lui,
Et je ne sais si c’est cela qui m’a séduit,
Mais avec le temps, le mouvement, j’en ai déduit,
Qu’il était bien plus qu’un ami !

Je vais vous parler de lui, sans futilité,
Parce que cet être remplit d’humilité,
Ne le fera pas ! Alors j’affûte mes mots habiles !
Alors vous me diriez : Mais qui es t’il ?

Et je vous répondrais alors en juste lune :

Il est la pointe mouvante de ma plume !
Qu’il soit, aimant, moqueurs, où enjôleurs !
De lui, jaillit des mots de toutes les couleurs !

Il est le souffle qui me guide sans peur !
Vers les pensées de l’âme et du coeur,
Il est seul et sensible, caché dans l’ombre,
Il est la lumière écrite de ma tombe !

Il est l’unique qui se couche en parchemin,
Il est la pensée qui agite mes mains !
De son sang en encre fine, pour tracer,
En offrande les envies de vivre et d’aimer !

Il est le divin qui a franchi le miroir,
Pour dissiper la brume de ma mémoire,
Profondément enfuie dans l'oubli,
En m’emmenant sur ses ailes dans l’infini !

Il est le jardinier de la fleur de la vie,
Il m’a apprit à m’abreuvé à la source infinie,
Celle qui se nourrit d’immense impulsions,
En étreignant son âme d'émotion !

Je vous ai parlé de lui, parce que un jour je suis née,
En sa présence, sous le halo qui illumine ma destinée,
Inspirée par la magie de l’Amour en doux espoir,
Parce que qu’il est la lumière qui crée mon histoire !

Qui est t’il ?

Et je vous dirais : Une Ode à l’Odyssée !

Et je vous répondrais Séance tenante avec une Gaudriole !
Tendrement légèrement Serinant et frivole !
Ce n’est pas un Galéopithèque, ni un Gadidé !
Ce n’est pas un Galapiat, ni un Gallinacé !

Il est simplement un Funambule de la parole,
Il à l’esprit Fulgurant à en émaner des Fumerolle,
Ce n’est pas un Fumiste, ni un Fugitif Fusé,
A lui seul il est une Ode à l’Odyssée !

Mots secrets !

Mercatique, Mythique, Messire Funeste !

Emérite à l’ Eponyme manifeste !

Sous le vent, pardonnez mes frivolités !

Sous la brise, pardonnez mon impétuosité !

Incontournable, Imperceptible, Indécelable !

Référent est votre esprit, Révélateur est le Sage !

Excusez mon souffle, Sous l’Elan Emotionnant !

Faites vous, Festif de la clairière aux milles chants !

Ultime chant d’Aspioles de l’Unisson !

Nostalgie, par les sentiers boisés, nous irons !

Emergeant de nos mots, chevauchant nos esprits !

Sous le Sacrement Silencieux de l’infini !

Traînée céleste au firmament !

Ecrits sous l’Egide de l’évidant !

Je parle de vous, cela vous dérange t’il ?

Epatant, Eminent, Elfe subtil !

Versatile est le vent, surprenante est la brise !

Orage en accalmie, tourment en douce bisse !

Un jour, je le sais, nous serons Unité !

Sous le Somptuaire de divinité !

Avez vous aimez ce chant ?

De tout souffle, de tout temps !

Ode à l’Odyssée !

Route entremêlée, toute Réel à l’illusoire !

Eternelle est notre histoire !

Désespoir, est le mot exacte,

Absence, est le mouvement de pacte,

Malgré que le vent m’emporte,

Imaginant, l’ouverture d’une porte !

Et je m’envole, à coeur soufflé !

Ne dois je pas, résisté ?

Je suis déroutée, fatiguée,

Et ne dois je pourtant pas, aimé ?

Tout va tout viens !

‘ mais qu’elle est le bon chemin ? ‘

Abysse profonde de mes pensées,

Imminente est ma traversée !

Me voici cheminant à tous vents, le cœur en nappée,

Et mon destin dans les mains de la divine dame destinée !

Sylphisius consulta en fin d'aprés midi le recueil d'odes de Dame
Krapette. Son attention fût des plus soutenue et il ne put s'empecher
de feliciter la Dame par un petit glissé dans le livre en question.

Dame Krapette vos mots sont toujours des plus charmants, et en les lisant je redeviens un enfant...

*rougit en souriant*

Messire Syphisius !

Merci, c'est certes un des plus beau compliments, que mes petites oreilles de Fée ont entendu !

Merci de me lire !

*fait sa révérence*

Au plaisir...

Bonjour Dame Krapette , j'arrive certe en retard mais pour vous dire que tout vos petit poème sont très bien monter tous sa par une belle fée =)

Tu es sûr de ne pas être leadeuse des Ode ? Krapette tes écrits me laissent figés ... Rien à dire juste à contempler l'esprit de celle qui écrit sur le clavier .

# sourit #

Merci....( ^^)

En silence…

En silence, délicatement assise sous le toit du monde à l’aube du crépuscule,
J’observe silencieusement les dernières lueurs du jour,
Tendrement, j’écoute attentivement les chants en discours,
Tout en étant fascinée part le monde couchant se réverbérant en bascule.

Et je reste immobile jusqu'à…

La tombée de la nuit ou sous le concert naissant des bruissements sourds,
Je devine les papillonnements des êtres nocturnes sous les filtres des nuages,
Songeuse, je contemple calmement l’horizon à l’infini qui traverse les âges,
Et c’est ainsi que tombe le grand rideau de la nuit en doux troubadour.

C’est alors que je m’éveille petit à petit à la vue discrète,
Du tapis de pépites étincelantes, et une à unes, les étoiles apparaissent
Et la nuit devient alors velours en destins et croisements Funeste.
Et l’espace se restreint faisant un tendre murmure de la voûte céleste.

Et se fige le temps qui en ouvre l’espace…
Une étoile brille d’avantage et le reste s’efface…

Surgit alors le souvenir d’un séduisant bourdon écumant mes jardins en habile maraudeur,
Qui, un jour a la porte de mon intime demeure, se pressait de goûter toute l'âme de mon cœur,
Qui, volait et virevolterais autour de mon aura, et réveillais en moi toute profonde ardeur,
Qui, en sa présence sonnais l’oubli fricoteur, de s'être comporté en tout bien tout honneur.

Et j’entends l’écho de mon émoi, quand lui et moi fessions quelques pas…
Ce jour là, où côte à côte mon cœur se serrais et s’ouvrais à la fois…
C’est encore pour moi d’une telle puissance, que je laisse s’envoler quelques pensées…
En silence, délicatement immobile jusqu’à l’éveil d’un rêve de lui et d’éternité…

Le silence était plein d'incertaines rumeurs...

Sous l'enchantement lunaire endormant délicatement la vallée,
Le jour s'éloignant, laissait place aux tourbillons de mes pensées.
Le silence était plein d'incertaines rumeurs…
Et je ne sais quel regret me mit les yeux en pleurs…

Après des printemps d'espérance et des hivers de glace,
Mille jours d'ennuis, une nuit de grâce…
Après des éclairs d'Amour, les éclats de sa foudre,
Qui en souvenir entre fendent mes nuits et m'éclate en poudre.

J'inonde depuis un ciel de désir, dans un monde d’ivresse,
Un univers de maux ou j’agite mille feux de détresse,
Tout n'est plein ici bas que de vaine apparence,
Sans jamais rencontrer l'état de transparence.

Lorsqu’Il veut se cacher à moi pour éprouver ma foi,
Dans les profondeurs, je cherche l’écho de sa voix,
Confiante en attendant qu'Il me regarde encore,
Ce qu'on donne à sagesse est conduit par le sort.

Paraissaient des sentiers tracés pour une fée,
Qui parfois même se devinait apeuré,
A cette douce Oraison de l'univers,
Pour s'abreuver à l'évidence claire.

De l'émoi qui me vint de ce coeur sur mon coeur,
De cette union d'amour en une ineffable douceur,
Par un même destin, qui un jour fût liés,
Nos esprits chemineraient toujours auprès de l’éternité.

Qu'importe qu'en un instant on consume une vie,
Si l'on doit en aimant épuiser tout son coeur,
Pour qu’un présent se penche sur la coupe remplie,
Et y goûte le nectar du bonheur.

A toi…

Krapette, je suis peu douée pour les histoires & les poèmes, mais la lecture m'a toujours intéressé.
Les mots que tu emplois me charme. Ta lecture est, pour moi, entrainante !
C'est très beau !

''Je vais vous parler de lui !'' est-il réel ?

Salutations Earwen,

Merci pour tes compliments et oui "il" existe, il est souvent subtilement nommé dans les odes.
Je parle aussi de lui dans mon histoire.

Amoureuse! (a)
J'ai remarqué qu'il est souvent là oui !

J'ai lu un peu des appartements, vos RP etc, mais pas encore le tiens je crois !

Merci pour ce Up, je viens de redécouvrir les textes de Krapy.

Silencieuse, les poings aux dents, assise sous l’enveloppe d'une longue nuit, je me suis réfugiée sur l'abri antique de la voûte éternel.
Je regarde l'abîme de l'ombre et j’écoute inlassablement les cris égorgeurs des temps irrités s’évanouir dans le gouffre où la vie amasse les tempêtes.

Silencieuse, les pensées aux vents, immobile sous l’imaginaire de mes ailes repliés, j'entend l'appel désespéré de ce lugubre concert.
La terre prolonge autours de moi ces bras immenses et les sentiments battus par la houle de la vie, rythme les ondes de mon vague à l’âme.

Silencieuse sous l'aura de la lune vaporeuse qui s'attriste, ces faces tirent de mourantes violes, parsemée de blancs sanglots glissant sur ses corolles.
Ma songerie aimant à me martyriser, elle s'enivre doucement du parfum de l’absence, espace qui n'a ni fond ni bord, une caveau d'insondable tristesse.

Silencieuse, immobile aux sursauts des nombreuses souffrances de mes larmes libérés, mes pensées délicatement et fragiles s’envolent en éclats.

Que reste t’il de la vie quand le souffle s’éteint ?

Quand on sait que le soleil en est le père et la lune la mère, que le vent l’a porté dans son ventre et que la terre est sa nourrice et son réceptacle, comment vivre quand l’enveloppe n’est plus ?

En éveil piquée au vif de mon désespoir, attentivement je tends l’oreille et je n’entends aucune réponse, aucun écho.
J’entends juste le profond battement venant du cœur qui peu à peu déchire la trame de la douleur et qui rompt le silence pour offrir le chant de mes plus beaux mouvements d’amour, j’ouvre mon esprit pour insuffler cette prière que je t’adresse, à Toi belle âme, venue m’accompagner sur cette terre.

Reçois le souffle de mon âme en remerciements et reconnaissances, monte de la terre et descend du ciel que la force et la puissance reste entière devant l’éternel.
Accueil les vibrations de mon amour qui s’envole vers toi, que nos destins entrelacés soient à jamais lié dans l’amour partagés, sache que de tout temps mon coeur te regarde inlassablement chevaucher le vent.