Ode !!!

Ode à l'amour...

A la tombée du jour...Jess !

J'ai vu un de mes rêves
Qui passait tout près de moi
Comme si de rien n'était
Comme s'il ne m'appartenait pas !

Je me suis endormie, quelque part égarée
Sans même te chercher
Je me suis évadée
Certainement, le bruit obsédant de la marée !

A la tombée du jour...Jess !

Si j'avais les mots pour te dire
Et la chair pour te plaire
Sous robe d'éternité
Frileusement rafistolée !

Mes yeux dans tes yeux, je voudrais t'avouer
Tous les murmures interdits de mes rêves
Comme le vent fait trembler les feuilles
Tu as réussi à faire trembler mes lèvres !

A la tombée du jour...jess !

Réveille moi pour défier, tous les vents
A souffler aussi fort, sans réussir à déplacer
Un grain, de notre coeur profondément tracé
La nuit est étoilée, la lune inspire une inaltérable félicitée !

Notre premier regard ! Je me souviens du jour
Il flottait dans le ciel un doux parfum d'amour
J'ai d'abord cru qu'un ange, du ciel était tombé
Ni le temps ni les jours ne sont immobiles, qui animent mon sang de cet instant !

A la tombée du jour...Jess !

Depuis ce jour, j'ai fait halte aux fontaines
D'un profil entrevu qui te ressemble
Au tendre note d'une musique, tu m'offris en ces lieux un instant de bonheur
C'est sur ces accords enchanteurs, que tu as su enflammer mon coeur !

Dans l'obscurité, un homme, une femme
A la lueur d'une flamme
Un bel instant de tendresse où se mêlent silence et vent qui se caressent
Et les âmes s'envolent au paradis, tandis que les corps restent dans la nuit !

A la tombée du jour...Jess...et depuis ce jour !
Mon âme chante, une ode à l'amour !
Le fleuve de mon coeur me murmure ton prénom
Dans un souffle silencieux mon coeur ici le nomme !
A la grandeur de l'homme !

Dame krapette

Ode à l'amitié !

Messire Gauvain,
Mon tendre ami,

Dans nos vies, il est des jours exceptionnels,
Où nous rencontrons des êtres qui nous émeuvent comme un beau poème,
Des personnes dont la présence exprime une sympathie toute intérieure d'une nature riche et douce qui vous apaise merveilleusement.

Lorsque votre ami révèle ses pensées,
Il est votre champ que vous ensemencez avec amour et moissonnez avec reconnaissance.

Et lorsqu'il est silencieux votre coeur ne cesse d'écouter son coeur, Car en amitié, toutes pensées, tous désirs, toutes attentes naissent sans paroles et se partagent dans une joie muette.

Messire Gauvain, vous êtes mon ami le plus cher, mon coeur vous aime et vous offre ma plus belle et plus fidèle amitié.

Messire Gauvain, mon ami, les fées accompagnent votre route, mon coeur accompagne votre destin.

Tendrement à toi !

Dame krapette

Ode silencieuse Funeste Destin !

Silencieuse, les poings aux dents, les ailes repliés, enveloppée d'un noir manteau, réfugiée sur l'abri antique du souffle éternel, la terre prolongeait ses bras immenses, le continent battu par la houle de la mer, je regardait l'abîme de l'ombre, j'écoute les cris égorgeurs serviles sous le vol des siècles irrités dans un gouffre où la vie amasse ses tempêtes.

Silencieuse, la nuit , j'écoute, parce que tout fuit, parce que tout passe, l'espace efface le bruit, ainsi nuit profonde murmure une onde, des oiseaux passent, de leurs ailes lointaines, le battement décroît confus dans les plaines, sous leurs vols multipliés, frissonnent tous les grands chênes, sous l'ongle de leurs ailes, meurent leurs souffle fidèles, volants dans l'espace vide, le vent, la houle, en tourbillon l'écho, tous en cadence.

Silencieuse, l'appel désespéré de ce lugubre concert universel, aussi vieux que le monde, tourbillonne autour du sinistre immortel, il remonta d'un bond vers les temps insondables par delà l'immensité sublime, et la fureur me pèse, et le combat m'ennuie, j'ai bus toute la mer des larmes infécondes qui s'amassent, sans m'emplir, dans l' éternité, espace qui n'a ni fond ni bord, une caveau d'insondable tristesse.

Silencieuse, la lune vaporeuse s'attristait, ses faces tiraient de mourantes violes, parsemée de blancs sanglots glissant sur ses corolles, ma songerie aimant à me martyriser, s'ennivrait doucement du parfum de tristesse, il me semble parfois que mes larmes coulent à flots, comme une fontaine aux rythmiques sanglots, un air très vieux, languissant et Funeste qui pour moi seul à des charmes secrets, un spectre fait de grâce et de splendeur, le cueilleur d'un rêve au coeur neigant de blancs bouquets d'étoiles d'éternité.

Silencieuse, son aura mélancolique déclenche mon réveil, il me poursuit de son ombre sans pareille, il m'attire dans un paysage inondé de merveille et je crois voir s'étendre un coteau vert nourris et fraît, coupé de sentiers gravelés, puis un château à coin de pierre, aux vitraux tients de bleu violet et de vert tendre nervuré de blanc sur l'extétieure, en rideaux le long des murs, à l'état nature, des ornements sauvages, aux tiges filiformes qui s'épanouisse en essences variées, des touffes de rêviole lustrée gris perle en longue grappe, un jardin cousu d'un épais tapis vert qui abrite des petites grenouilles vives, et jaillissant de partout, mille fleurs pétulantes, une rivière baignant sous mes pieds, qui coule entre les fleurs de mon bonheur.

Silencieuse voix, que le vent porte, pour affranchi mon réveil, éclairer ma destinée, l'essence de ton être à nul autre pareil, les contraste de nos âme se fondent à merveille, dans le paysage de nos secrets, par une esquisse ardente, tientée de toute beauté, lumineuse magie qui envahit ma vie, qui parcourent l'horizon endormi de mes pensées qui se perdent à l'infini...

Dame krapette

Samaritain Rapia Nombre de messages : 621 Date d'inscription : 31/03/2006

*Applaudissement a ce FUNESTE ode *

Ode Mel...pa...hol...mab !

Mel...pa...hol...mab un doux mélange de fées,
Je suis Mel...un peu de Mélusine, la fée la plus câline,
De ma peau douce et fine les vies tristes j'illumine, délicate et coquine,
Dans les nuits suaves vers des destinée clandestines.

Mel...pa...hol...mab, je suis Mel...pa...
Un peu de Paradis, la fée la plus divine, mille éclats endormi des plaisirs interdits, des pensées qui se perdent à l'infini, moi seul détient les clés de cet étrange paradis.

Mel...pa...hol...mab, je suis Mel...pa...hol...
Un peu de Holda, la fée de l'arc-en-ciel, qui panse les blessures comme un doux soleil, qui efface les meurtrissures d'un coup de baguette virtuel, qui soigne les coeurs en brisures, les rend encore plus beau et éternels.

Mel...pa...hol...mab, je suis Mel...pa...hol...mab...
Un peu de Mab, la Reine des fées, la fée triste de voir la mine triste du sort si cruel des âmes si pures, quel monde démentiel ! Avec sa baguette en bois de coudrier elle soulage aux rêves des yeux fatigués, caresse les coeurs malheureux, rapproche les esseulés et fait naitre L' Amour et L'Amitiés.

Melpaholmab, fée du plaisir, fée du bonheur, fée de la douleur, fée des coeurs....
Melpaholmab, la main déposé sur le coeur, au grès de son chemin, dépose sous ses pas, quelques fleurs pastels...
Melpaholmab, fée qui cherche le souffle tendre et la fragrance de celui qui à inspirer son réveil...
Melpaholmab...simplement une petite fée égarée !

Dame krapette

Samaritain Rapia Nombre de messages : 621 Date d'inscription : 31/03/2006

20/20 !

Félicitations !

Ode à l'infini ami !

Ode pour Funeste mon ami !

Une pluies d'étoiles, s'abat sur la nuit,
Dans les lumens scintille ton reflet infini.
Des filaments de lune, se fondent dans la voie lactée,
où nous entamons soudain une danse transcendée.

Vers toi, je me sens aspirée comme envoutée,
Par les secrets de ton coeur non dévoilé.
Divine symphonie que nos âmes enlacées,
Dans la constellation de cet amour sacré.

Je ne veux pas d'un Univers qui sommeil,
J'aime m'inspirer du rythme de la nature si belle,
Galoper au son du vent, caresser par le soleil,
Entonner le chant de la vie qui se réveille.

Je veux me cacher dans ce monde parallèle,
A l'abri du monde si cruel.
Veux-tu t'en aller avec moi, à tire d'ailes?
Vers des contrés inconnues qui étincellent.

Me laisseras-tu dérober ton âme de mortel?
Dans ce Pays qui recèle tant de merveilles.
Nous construirons un Royaume infini Surnaturel,
Rempli de nous et de notre amour éternel.

Je me parerai des rayons du soleil,
Et me glisserai tendrement dans ton sommeil.
J'userai de tous les charmes envoûtants,
j'userai de certain pouvoir surprenants.

J'irai danser sur les tapis de mousse,
Sautiller sur l'herbe humide par la rosée,
Chanter l'amour sous la lune émerveillé,
Pour que jusqu'à moi, je puisse t'attirer.

Mon charmant ami infini, tout en toi m'entraîne,
Dans une étrange passion qui me déchaîne.
Tu es si loin mais je t'imagine si près,
Je peux sentir ton souffle passionné.

Mon ami une pluies d'étoiles, s'abat sur la nuit,
Dans les lumens scintille ton reflet infini.
Des filaments de lune, se fondent dans la voie lactée,
où nous entamons soudain une danse transcendée.

Dame krapette

Magnifique Wink

Krapette krapette krapette!!!!!

OUI SUPERBE !
Merci Krapette pour ces poèmes magnifiques !

Ode Aux Nobles Templiers !

Ne sera jamais oublié,
Templiers aux destins scellé.
Tous, Zélotes au chemin tracé,
Ancienne résurgence de l'éternité.

Vielles traditions de l'écriture Sainte,
Sortie de l'horizon des limbes.
Ils devinrent les Nobles soldat du Christ,
Enfants de Dieu, sous le divin toit Templique.

Quand pour eux, le soleil se levait,
L'épée sans trêve ils se battaient.
Pour chasser, anéantir la misère,
Combattre l'injustice, pour la divine lumière.

Dans l'immense profondeur du désert,
Une porte de sable s'ouvre dans le mysthère.
Une ode aux Nobles Templiers,
Enchante les spectres de poussière dans l'éternité.

Dame krapette

Messire jess, Maître Barbare, Messire Poeri, mille merci pour vos appréciations et vos encouragements.
Je vous embrasse !
krapette

Oo!!!!!!!!!
C'est génial, franchement j'adore!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Ode larmes de tritesse !

Dans l'abîme triste de mes profondeurs,
Mon âme ensevellie sous les malheurs.
La griffe du silence, le parfum amer,
Mes larmes à profusion dans la mer.

La nudité de l'espace me lasse,
Tant de tristesse, les rivières trépassent.
D'y vivre plus longtemps, serait une utopie,
Mais où est donc la magie ?

Sans attendre des contrées m'appelle !
Et je m'envole à tires d'ailes !
Dans un pays qui recèle de merveilles !
Où enfin je me serais fidèle !

Vivre sous la voûte céleste de l'Arc-en-ciel,
Dans une forêt au trois milles arbres vêtus de soleil,
Où le vent chante les feuilles de chêne,
Où l'Amour me couvre d'un pull de laine.

Dame krapette

( Merci Messire Mckruguer ! *sourit* )

Ode Au Prince de Lune !

Depuis le debut des temps je suis une tendre solitaire
Un simple voyageur sur les chemins d'encens
Amuser par la fuite angoissante du temps
Je suis tomber un jour sur la terre.

L'âme sans gouvernail
Ma plume inspirée chante une berceuse alliciante
Aux minuits de l'intime tintinnabulance.
Je vogue sous l'éther astral.

Sur les flots nuancé de l'auroral rêve
Je vole entre les lignes tombantes
Du ciel sur l'eau dolente
A la recherche d'un nectar de sève.

Ma muse en tendre mer
Balancée par la caresse infinie
Des nuits phosphorescence attendrie
Mélodieuse brise qui inspire la lumière.

Sous l'agonie de mon rêve de lune
Se lève les voiles des limbes
Je goûte, enfin le melliflu du Prince
Née alors un amour fleur de dune.

Tendrement rêveuse, Prince de Lune, je t'espèrais !
Autour de moi les arbres craquent de ton absence
Je profite d'une souche pour mesurer notre accablante distance
Dans mon intimite forêt, Prince de Lune, je t'attendrais !

Dame krapette

En ce mois d'octobre je dédie ce poeme à ma tendre Maman.
Voilà Maman, mon coeur chante ces mots, pour toi, où que tu sois, mes tendres pensées s'envole vers toi, je t'aime !

Ode à GaîaNell !

Un jour sur le souffle de la terre
Naquit, une douce sincère
Les yeux vert, tendre jade en amande
Sur les Nobles forêt de Brocéliande.

Ma douce fée, Ma Merveille !
Mon coeur te nomme GaïaNell !

Un jour sur le souffle de l'Amour
Naquit, moi, petite fée à l âme de velour
Les yeux profondement bleu azur
Sur les Nobles illusion du futur.

Maman, tendre fée qui me veille !
Mon coeur te respire, GaïaNell !

Et un jour, ton ultime et dernier souffle
Et naquit, les larmes incessante de soufre
Mes yeux remplits aux flots bleu puit
Sur l'immensité de l'océan infini.

Nelly, Mère Merveille!
Mon coeur te pleure, GaïaNell !

Depuis ce jour, de décorporation insolente
Dans mon coeur, un néant enrobe le silence
Dans mes yeux couleur de lune claire
Je cherche ta résidence secondaire.

Mère blanche éternelle !
Mon coeur t'espère, GaïaNell !

Aujourd'hui, Octobre au triste chemin
Mois de ma naissance et celui de ton Funeste Destin
Pendant ce mois, mes yeux bleu et celà pour ma vie entière
Chercherons la mémoire de ta chair.

Maman, Maman, Maman éternelle
Mon coeur t'aime GaïaNell !!!

Simplement ta fille, Petite fée krapette !

Et ce jour là !

Assise délicatement sur un doux tapis de mousse, mon regard embrasse l'horizon des montagnes couronnées d'étoiles, bercée par le jeu tendre du vent, aux fumées parfumées, je sens l'haleine de la mer rehaussée par l'échos multipliés des mélodies des devas, un rythme silencieux équivoque à l'effigie des stances esquissées de l'ombre de mon émoi.

Au crépuscule ouaté de mes silences pacifique, à l'indolenge des minuits dans la solitude de mon esprit, sous le halo de la nuit, mes yeux se devine en couleur de lune tendre bleu gris, je cherche du plus profond de la mélodie de mon âme, ton ombre, ton reflet, ton souffle, ta présence, je cherche mon image dans ton miroir, toi tout comme moi, un enfant solitaire, voyageur assidu sur les chemins des étoiles, mon être te cherche depuis le début des temps.

A l'instant présent, mon esprit devine ton âme, je pense à toi, un sourire se dessine dans mon antre, et je te respire, et je te désire, mes sens tels une hordes de chevaux sauvage, galopent vers toi, en s'inspirant de la force de la terre, en s'ennivrant de la liberté, le coeur en vertige, j'imagine au loin ton visage, tes yeux, et mon regard s'éperd en sa voltige, et mon corps écrin d'une fleur éclose de la nuit, nature vive de l'indompté, t'offrant cette fleur pleine d'embruns depuis même sa tige.

Enfin je m'avance vers toi, aux rythmes des quatres vents...Un jour viendras ou mon regard ira se fondre dans les fenêtres de ton âme, ou l'unité nous habiteras pour l'éternité, Et ce jour là ! ...

Dans cette nuit profonde !

Dans cette nuit profonde, la lune, soupire et chante
La paresse d'éventer les plumes blanches
Le vent presse la pluie qui noie le haut désespoir
Une nuit plongée dans le noir.

Mes yeux se sont remplis d'ombre
Même si le soleil se lève, il tombe
Je part dans le vent probablement vers le néant
Les nuits sont plus douce que mes jours récalcitrants.

Et si ce néant s'avérait être un trésor !
je me battrais, contre les puissances des ténébres
Pour faire entendre ma voix, pour dévoiler mon être
Pour te dire la promesse que j'aurais arrachés au silence

Dans cette nuit profonde et longue
Remplie d'angoisse, perdue dans l'onde
Mon coeur enflammé d' Amour
J'était dans les ténébres aux milles contours

J'aimerais te dire, fais silence !
Ecarte ta raison ! Descend dans ton coeur !
Là une flamme vit, palpite, qui aspire à la vie
Et les chaînes qui l'entrave tomberons.

Seule dans de la nuit
cherchant refuge dans les bras du chêne de Tyr
Je monte au grand mont, du ciel enflammmé
Sur les branches des cieux magnifiées

Dans cette nuit profonde et maintenant, du haut de l'arbre
A l'horizon, parmi la brume
J'espère la course d'un cheval qui fume
Ainsi revoir mon Bien-Aimé.

Je me tenais dans le secret, nul ne me voyait
Et je n'apercevais rien ! Où m'attendait celui que j'aimais !
Pour me guider que la lumière, qui brule dans mon coeur
Comme une lanterne, créant des sentiers à l'infinis.

Solitude, quand ma main tu lâcheras
Et que sa main viendras se tendre
Alors, Solitude, souvent mon coeur reviendras
Car pour aimer , il faut savoir attendre.

Dans cette nuit profonde, Quand le souffle provenant de l'âme
Soulevait ma chevelure et que de sa douce main
Posée sur mon cou honoré d'un geste de satin
Tous mes sens furent suspendus.

Je restai là et m'oubliai !
Le visage penchée sur le souvenir de mon Bien-Aimé
Et moi dans ma couche inquiète
Jamais l'aube ne me vit si muette.

Je tourne mes yeux vers l'horizon des mers
Dans ma naîveté le ciel est déjà lointain
Tout cessa pour moi, déjà le matin
Mon âme aux milles voix, exprime un échos sonore !

Dans cette nuit profonde, révélations célestes
Car quand la douce lune montreras sa paresse
A la prochaine nuit tombée j'allait...
Peut-être voir l'homme que j'aimais...

*Dans cette nuit profonde, un long soupir de Dame krapette*

Oô ! Seigneur Dragon !

Ton nom est caché dans les mystères de mon âme,
Gravé, jadis comme un anneau dans ma main de femme,
Que l’abîme du temps laissa glisser de mon doigt,
Provoquant en moi le plus grand des effrois !

Oô ! Seigneur Dragon !

Ton nom puissant, échapper par la fente des cieux,
Quand avec l’écho de ton souffle harmonieux,
Touche mon être profondément, qu’il se voit éclore,
Qui s’éclaire et qui grandit encore !

Oô ! Seigneur Dragon !

Ton nom par la splendeur de ton âme me traverse,
Dans mes yeux d’enfant, inlassablement tu me berces,
Dans ma chair de femme ta présence me bouleverse,
Qui dans la nuit cherche tes caresses !

Qui donc est le Seigneur Dragon ?

Celui dont l'âme immense, en moi est répandue,
Celui dont un seul pas mesure l'étendue,
Du ma plus grande espérance de sa venue !

Oô ! Seigneur Dragon !

Ton nom passe et repasse dans mon âme que rien n’efface,
Tu glisses la nuit dans mes songes sans laisser de trace,
Mon cœur chante, la harpe de ta résonance toujours et toujours,
Du soleil à la céleste flamme de l'amour !

Oô ! Seigneur Dragon !

Oô ! Seigneur Dragon, écoute le murmure qui m’aspire,
C’est ton nom, c’est ton souffle que je respire,
Les ailes de mon âme à tous les vents,
Pour ces mots sacrés….Seigneur Dragon je t’aime tant !

Voyage au centre de mon cœur !

Le saut de l’Ange !

C’est au cœur des profondeurs, que je respire, sous une conquête pastel,
Sur le sentier de nulle part, au lieux dit : Le jardins des Géants !
J’écoute attentivement, le silence de la forêt des vivants,
Le temps au ralenti, à l’affût de la cité de l’onde de l’éternel !

Suspendue, la tête vers la terre, les pointes des ailes vers le ciel,
Par mon souffle, j’appelle désespérément l’essentiel, l’existentiel !
Je regarde, en méditant, la terre vue du ciel, ces rayures, ces cicatrices,
Sous les battements de sa vie, je descends lentement au cœur de la matrice !

Ballottée par les excès de vitesse, de mes émotions, mon esprit s’élève,
Dans le sens et le travers, sans jamais tomber à l’endroit !
Sûrement parce que je suis de partout, et de nulle part à la fois !
Le corps épuisé, Au vent de l’onde, je glisse dans le cercle des rêves !

Je me réveille la peau fragile, le cœur en divague, dans les frissons de l’écume,
Debout, devant le voile, d’un lacis de ramure, au l’on devine une allées et venues,
De rencontre à l’infini, où le temps d’un instant d’une pluie de lumière émue,
Immobile, un torrent de larmes dorées, engloutit mon cœur, et le désespoir s’allume !

Dans ce profond, plein de Mystères, sans Repères, je suis paralysé, Je Me Perds !
Les larmes du temps coulent de mon âme, elle se tarisse et enfin le silence s’enflamme,
Dans la cathédrale souterraine, goûte à goûte, je me libère de mon de fardeau de femme,
C’est le Saut de l’Ange, le phosphore s’embrasse, sous les rayons lunaires de la pierre !

Devant moi, un Puit de Lumière au Creux de la Terre, un être éternelle,
D’un geste, l’ange de la pierre, polit par le vent des figures immortelles,
M’appelle, je m’approche doucement, je me penche et mes yeux s’illuminent d’un reflet,
Derrière son rideau, c’est la fin du sommeil, dans la fêlure du temps, c’est le réveille !

Sous l’éternelle cadence des vagues brisées, une pluie de fleurs s’épanche,
J’aperçois, dans le jardin de l’eau, un autre monde, une rencontre, une terre féconde,
Un chemin de ronde, où je danse, où simplement, je vagabonde,
Au grès du vent, joyeuse, entre les violettes et les pâquerettes blanches !

Sur le sol fleuri légendaire, des profondeurs de mon cœur, nous sommes deux !
Tu es là, pourtant j’ai foulé les tapis de bruyère, j’ai marché au bout de la terre,
Tu es là, pourtant j’ai plonger dans le mer de mystère, nager dans l’océan de lumière !
En vain, aveuglé, je n’ai pas vu l’essentiel ! Il existe donc ? Ce monde merveilleux !

Au souffle de mes ailes, un instant suspendu de nos deux vies dans le firmament,
Je formule ici, un vœux ! Esprit du vent ! Trouve l’élu de mon coeur, dit lui en passant
Qu’à nul autre pareil et depuis le premier battement de temps,
Mon coeur est à lui, et que je l’aime tant !

Magnifique, tant d'emotion à travers les mots, superbe travail !

Elle est forte hein ?

*est tout fier de Krapette*

*rougit*

Je voudrais vous remercier, Messire Sylphirius, Messire Poeri, vous prennez le temps de me lire et c'est un immense bonheur pour moi, que mes mots vous touchent, celà m'encourage d'avantage à me surpasser !

*sourit*

Songes de l’esprit !

Profondément endormie, dans les songes de mon esprit,
Mes mots rêvent de voyage, d’un bout de parchemin où de papier,
Les songes de mon soupir, attendent le visiteur inconnu de l’éternité,
Enfin, derrière la porte, il se dessine de ma plume encre bleu nuit !

L’ombre d’un instant figé, j’aperçois l’âme unique fugitive,
Son souffle m’effleure, dans le halo de la lune blanche,
Vertige d’un silence, lentement, il se glisse entre mes branches,
Son corps se dévoile et je me dépose sur la courbure de son épaule vive !

Mon cœur tressaille, je sens sa divine fragrance, dans le bleu saphir,
D’un battement de cils, il tend sa main, tendrement, il ouvre son cœur,
Dans le creux de sa bouche, j’écoute sa Voix, délicatement, il œuvre,
Pour qu’au sein de son souffle, je m’évapore, sous l’étreindre de mon devenir !

De l’ombre vers la lumière, on s’envole, tel des funambules des airs,
l’onde des cœurs remplit d’espoir, on respire notre histoire,
On projette nos rêves éblouis, dans la légende d’ivoire,
De la plume du destin, au grand jardin bleu, à la perle opale lunaires !

Sur les ailes d’un papillon géant, nos deux cœurs battants,
Ce souffle des mots murmurés, sur des rubans de lumière,
Parsemer au vent des eaux des secrets, offert aux cristaux de la terre,
En douce offrande d’amour, créant des étincelles de pépites d’Instants !

Dans le geste d’étreinte de flamme, s’enroule, volupté et tendresse,
De nos lèvres de velours, réunit l’embrasement de l’Amour,
Murmure amoureux, aparté mystérieuse de toujours,
Face au vent, on savoure la caresse, on goûte l’ivresse !

Nos cœurs unis, ivres de ce ballet fougueux dans le ciel vaporeux.
Dans l’immensité du duvet de la douceur de la plume en émoi,
S’embrasse inlassablement, blotti dans le creux de l’infini pacte de foi,
Doucement je me réveille, à travers les temps, aux souffles de mon rêve amoureux !

Et L'Amour !

Le doute m’habite, sans cesse il réplique,
Il prend possession de mon ventre, il m’étripe !
Inlassablement il ressasse, il m’agace,
Quoique je fasse !

La peur, m’emprisonne, m’espionne,
Elle prend ma tête en étau, qui résonne !
Tenace, elle s’agite, elle m’excite,
Sans porte, sans fuite !

La culpabilité me retient, me détient,
Elle prend à la gorge mon âme qui s’éteint !
Vivace, elle s’infiltre, elle m’élimine,
Sans fenêtre, à me triste mine !

Et L’Amour ? Où est tu ? Que fait tu ?
Ne vois tu pas, que je n’en peux plus ?
Dissipe mes doutes, dissous mes peurs,
Anéantit cette culpabilité ! …Offre moi ta fleur !

Très joli Krapi Wink

( Merci Barbare^^)

Offre moi ta fleur !

L’envie, me goûte, m’agglutine,
Elle laisse aux papilles, saveurs divines !
Subtile, elle s’invite, elle installe,
Sans faim, à mon âme !

L’ennuie, me lasse, m’exaspère,
Il laisse aux visages la trace des mystères !
Sournois, il se glisse, il insiste,
Sans cesse au ton cynique !

La Solitude m’accompagne, m’étouffe,
Elle laisse au cœur, un vide de mousse !
Tenace, elle s’agrippe, elle parasite,
Sans mémoire du monde magique !

L’Amour ! Donne moi ta fleur !
Malgrès ma prestation d’amateur !
Sans la solitude, de l’ennuie, de l’envie !
Juste parce que je suis en vie !

Le bonheur, m’oublie, m’ignore,
Il laisse ma peau à l’indolore !
Distrait, il se perd, il disparaît,
Maintenant à l’imparfait !

L’affection, me touche, me frôle,
Elle laisse un souffle à mon rôle !
Douce, elle m’apaise, elle m’exalte,
Tendrement elle me calme !

La passion, me devine, me transcende,
Elle donne à l’esprit la prestance diligente !
Immense, elle prend place, elle délivre,
Le sens et le nom du livre !

Amour, Amour, Amour ! Tend moi cette fleur,
Dans la passion, à l’aube de l’affection du bonheur !
Que je puise retrouver son jardinier !
Et ainsi fleurir de l’aimer !