Lanjis et réfléxion.

Qui a dit que les Lanjis était qu'une saison froide et sans chaleur ? Ce n'est pas vrai.

C'est peu être celle qui rapproche le plus les gens où le froid rapproche les gens pour lutter contre le froid qui règne dehors...
Tout comme les enfants qui joue dans le cloitre a faire des bataille de boule de neige et autres bonhomme de neige décorés avec des objets de fortune qui font la fierté des gamins qui montrent ça a leurs camarade voir leurs parents.

Les décors ont également un magnifique manteau blanc recouvrant énormément de choses que le séraphin aux cheveux d'un grand blanc aussi proche que celle de cette neige-là fixe avec ses yeux aux couleurs étains le ciel qui a l'air d'être pâle lui aussi.

Il arrives parfois de penser qu'on est pas a sa place, qu'on ne sait pas ce qu'on doit faire, ne pas savoir où aller jusqu'à ce qu'à quelque chose ou en l'occurrence quelqu'un vous le rappelles... Comme ses enfants s'amusant plus loin dans la neige en riant tout en se chamaillant.

Il arrives parfois de penser qu'on n'est pas maître de son destin, qu'on doit suivre une trace toute droite et si le destin veut qu'on meures, l'on doit forcément mourir...
Pour lui, tout ça semble juste une idée absurde du fait que l'on peut choisir son destin et qu'on ne meurt que si l'on en a envie car ça tiens dans une philosophie simple qu'on est immortel tant que quelqu'un se souviens de soi.

Sur ces brèves pensée, il se relèves avec le sourire et s'abaisse prendre un peu de neige et en faire une boule qu'il gardes en main, jonglant d'une main avec d'un air un peu pensif tout en se ressayant sur le banc qu'il occupe depuis voilà... deux heure.

Un objet blanc volait à vive allure vers Draakan. Parti du premier étage, il se dirigeait droit dans son dos sans grand bruit.
Elle s'écrasa dans son dos, laissant une trace blanche près de son col, tandis qu'un rire étouffé s'élevait dans le cloitre depuis une fenêtre qui se referma brusquement.

Se prenant la boule de neige dans le dos, il tournes la tête vers la fenêtre qui viens de se refermer et la fixe un moment avant de se relever et retirer de la neige de son manteau.

-Bon, bah celui là, il perds rien pour attendre.

Avec un fin sourire, il quitte le cloitre d'un pas tranquille, les mains dans les poches de son manteau pour s'engouffrer dans les couloirs.